Consolideur

Attiré par les métiers de la finance ? Connaissez-vous la profession de consolideur ? Ce professionnel est au cœur même des décisions prises dans une entreprise. Voici un aperçu de ces compétences et du rôle qu’il joue au sein des plus grands groupes.

Quel est le rôle d’un consolideur ?

Le consolideur est un spécialiste des normes comptables et de l’audit. Il s’attache à donner une vision juste et claire de la situation financière d’une entreprise. 

Son travail consiste à effectuer la consolidation des comptes dans une entreprise. Pour cela, il détermine et analyse les données financières et comptables des différents départements ou filiales d’une entreprise. Il les contrôle et réalise ensuite un bilan unique, qui tient compte des normes législatives en vigueur.

Un consolideur tient souvent, en plus, le rôle de conseiller auprès de la direction des grands groupes. 

Il fait ainsi partie des métiers de la finance indispensables pour garantir et optimiser la santé financière d’une société.

Généralement, ce professionnel travaille pour : 

  • De grandes entreprises internationales ; 
  • Un cabinet d’audit ou d’expertise comptable ; 
  • Les services de l’État ; 
  • Etc.

En début de carrière, le salaire d’un consolideur avoisine le 3 000 à 3 500 euros. Mais en fonction de ses compétences, il peut vite augmenter.

Quelles sont ses missions principales ? 

Ses missions sont multiples, variées et stratégiques. Dans un premier temps, ce responsable commence par identifier un périmètre de consolidation. Il met ensuite en place le projet, après avoir établi un calendrier des opérations.

Il passe à la collecte des données. Il regroupe ainsi les comptes de résultat des différentes filiales. Il intègre ces états financiers dans un bilan consolidé unique

Puis, il prépare un rapport. 

Pour finir, ce professionnel peut prendre un rôle de conseiller. Il offre son expertise pour assurer au groupe une situation financière stable et conforme à la législation.

Toutes ces tâches impliquent un certain nombre de qualités que nous vous exposons plus bas.

Quelles sont les principales qualités d’un consolideur ?

Vous savez pourquoi étudier la finance, mais vous vous demandez peut-être si vous êtes fait pour devenir consolideur. 

Cette fonction exige, avant tout, une rigueur à toute épreuve. Mais la consolidation implique aussi une planification sans faille, et une organisation des plus millimétrées. 

Outre cela, les consolideurs possèdent des capacités innées en analyse et synthèse. Ils savent, en plus, faire face au stress et adapter leurs facultés de travail à des délais parfois serrés.

Quelles sont les compétences techniques relevant de la consolidation ?

Un consolideur a suivi une formation poussée pour apprendre à connaître :

  • Les normes comptables en France et à l’échelle internationale ;
  • La comptabilité d’ordre général et analytique ; 
  • La fiscalité ; 
  • Le droit des entreprises ; 
  • L’anglais des affaires ;
  • Les outils de reporting financier ; 
  • Etc.

L’ICS Bégué est une école de finance à Lyon et une école de finance à Paris. L’école propose des formations pour valider toutes ses compétences et obtenir un emploi en CDI comme Consolideur, une fois diplômé.  

Comment devenir consolideur ? 

Voici un cursus complet en 5 ans pour obtenir un poste dans la consolidation.

Bachelor en gestion, finance et audit 

Le bachelor gestion, finance et audit vous apprend tous les bases de : 

  • L’audit ; 
  • La finance ; 
  • Le contrôle de gestion ; 
  • La comptabilité.

Au cours des deux premières années, vous bénéficiez de stage en entreprise. Quant à votre dernière année, elle se déroule en alternance.

MBA banque et finance

Le bachelor ne suffit pas pour emprunter la voie de la consolidation en finance. Vous devez, ensuite, effectuer deux années de plus MBA en banque et finance. Il s’agit d’un parcours d’expert qui vous autorise à postuler à des emplois à hautes responsabilités.

Durant vos études, vous alternez 4 jours de travail en entreprise et 1 jour à l’école. Grâce à ce parcours, vous approfondissez vos compétences en : 

  • Management ; 
  • Gestion des risques ; 
  • Connaissance des marchés financiers ; 
  • Régulation bancaire ; 
  • Etc.

Quelles sont ses perspectives professionnelles ? 

Différentes voies professionnelles sont envisageables avec un profil sénior de consolideur. Vous pouvez devenir :

  • Directeur financier ou de la comptabilité ; 
  • Chef dans le contrôle de gestion ; 
  • Responsable de la consolidation ;
  • Etc.

Le poste de consolideur fait partie des métiers de la finance les plus recherchés. Envie d’en savoir plus sur cette profession et les formations de l’ICS Bégué ? Venez nous rendre visite dans l’un de nos établissements lors de notre journée porte ouverte.

Directeur fiscal

Vous aspirez à devenir directeur fiscal ? Cette page vous présente la fiche métier complète d’un responsable fiscal. Elle vous explique les futures missions auxquelles vous serez confronté et la formation pour vous y préparer. 

Quel est le rôle d’un responsable fiscal ?

Dans une entreprise, un directeur fiscal assume le rôle de garant législatif. Véritable expert financier, ce professionnel agit dans l’optique est de maximiser les bénéfices nets de la société qui l’emploie. 

Pour ce faire, ce responsable optimise les opérations fiscales du groupe, en ayant une gestion des plus stratégiques.

Ce manager est à la tête d’une équipe de fiscalistes, de comptables et d’experts juridiques. Il exerce son art dans de grandes multinationales. Il peut aussi travailler dans un cabinet fiscal ou dans divers organismes financiers. 

Les salaires de tels experts sont à la hauteur de leurs qualifications. Ils varient en fonction de leurs compétences et s’étalent, en général, entre 8 000 et 14000 euros par mois

Voyons plus dans le détail quelle est la mission d’un directeur fiscal.

Quelles sont ses missions au quotidien ? 

Le responsable fiscal a, tout d’abord, un rôle de conseil auprès de la direction. Il s’intéresse aux éventuelles fusions, acquisitions ou autres problématiques d’ordre international. 

Il fait une analyse fine et complète de tous les projets de l’entreprise. 

Il met ensuite en place une stratégie pour minimiser les charges fiscales et en informe, si besoin l’administration fiscale. 

Il réalise aussi une veille régulière de la législation fiscale. Celle-ci lui permet d’anticiper les différentes évolutions. 

Quelles sont les qualités indispensables pour devenir directeur fiscal ? 

Comme beaucoup de métiers de la finance, la profession de responsable fiscal nécessite une précision et une minutie de tous les instants. 

La moindre erreur pourrait, en effet, coûter très cher à une entreprise. La rigueur est donc une des qualités indispensables dans ce rôle.

En tant que manager, le directeur fiscal assume également la gestion d’une équipe pluridisciplinaire. Il se doit d’avoir un leadership des plus collaboratifs et inspirants

Par ailleurs, ce métier requiert une certaine aisance relationnelle pour expliquer les concepts complexes à la direction d’un groupe ou dialoguer avec l’administration fiscale.

Outre cela, ce professionnel de la fiscalité doit savoir faire preuve de flexibilité. Il prend des décisions rapides, de manière à s’adapter, en quelques semaines, aux changements des normes légales.

Quelles compétences techniques faire travailler dans la fiscalité en tant que directeur ? 

Côté technique, un directeur fiscal maîtrise à la perfection :

  • Le droit fiscal ; 
  • La comptabilité ;
  • La gestion des risques. 

Il a aussi une expertise dans les logiciels d’analyse des données fiscales.

Vous comprenez donc pourquoi étudier la finance est essentiel, si vous souhaitez devenir directeur fiscal.

Voici d’ailleurs une formation accessible à l’école de finance de Lyon et de Paris.

Comment devenir directeur fiscal ? 

L’ICS Bégué, l’école de finance de Paris et de Lyon couvre les domaines de la comptabilité et de la finance. Le cursus pour devenir responsable fiscal comprend 5 années. 

Bachelor gestion, finance audit

Le Bachelor en gestion audit et finance est accessible dès la sortie du bac. Cette formation solide vous initie à : 

  • L’analyse en finance ;
  • La fiscalité ;
  • La comptabilité ; 
  • La finance d’entreprise ; 
  • Etc.

Durant vos deux premières années, vous plongez dans le monde de la finance, en réalisant des stages en entreprise. Votre troisième année, elle, se déroule en alternance. C’est certainement une réelle valeur ajoutée de cette formation, car elle vous immerge en face de problématiques concrètes relatives aux finances des entreprises. 

MBA banque et finance

Ce master approfondit toutes les connaissances que vous avez acquises auparavant. Diplômé de ce MBA banque et finance, vous devenez un expert en : 

  • Management ;
  • Analyse et investissement stratégique ; 
  • Gestion des risques financiers ; 
  • Et bien d’autres matières encore.

Ce diplôme vous permet de vous valoriser lors du processus de recrutement. Il vous promet un poste à haut niveau dans le secteur financier et bancaire. 

Et après le responsable fiscal ? 

Après avoir exercé sur un poste de directeur fiscal, en CDI, pendant quelques années, vos perspectives de carrière et de salaire s’élargissent. 

Cette transition peut vous mener à postuler à diverses offres comme : 

  • Directeur juridique ou financier ;
  • Directeur général d’une société. 

Vous êtes également armé pour monter votre propre cabinet de conseils fiscaux

Vous l’aurez compris, le métier de directeur fiscal est à la fois exigeant et riche en évolution. Prêt à relever tous les challenges financiers ? Donnez un coup d’accélérateur à votre carrière, en vous formant dans l’une des écoles de l’ICS Bégué.

Contrôleur interne

Vous aimeriez maîtriser la gestion des risques dans plus grands groupes ? La profession de contrôleur interne vous permet d’évoluer dans ce domaine. Découvrez ce métier et les qualifications requises pour l’exercer. 

Quel est le rôle du contrôleur interne ? 

Un contrôleur interne fait partie des métiers de la finance qui protègent les intérêts d’un groupe.

Cet acteur clé vérifie la conformité des procédures internes, au regard des dispositions légales. Il contrôle ainsi que les risques financiers de l’entreprise sont maîtrisés.

Il analyse les processus mis en place au sein du groupe et propose des solutions s’il identifie un risque potentiel.

Le groupe est ainsi assuré de protéger ses actifs et d’avoir une structure financière fiable. Dans ses missions, ce manager collabore avec les services comptables et le département de l’audit interne de l’entreprise.

Pour information, le salaire d’un contrôleur interne peut évoluer entre 4 000 et 7 000 euros par mois, en fonction de son niveau d’expérience.

Quelles sont ces missions principales d’un contrôleur interne ?

Les activités de ce responsable de la finance sont donc multiples : 

  • Il analyse les processus en place.
  • Il détermine les risques internes et les solutionne en proposant un plan de contrôle adapté.
  • Il élabore des rapports comptables qui prouvent le bon état financier de l’organisation.

Il peut aussi avoir une mission de formation auprès de ses collaborateurs, en les sensibilisant aux risques et aux pratiques de gestion.

Quelles sont les qualités d’un contrôleur interne ? 

Le contrôleur interne est doté d’un certain nombre de qualités pour assumer de telles missions. Comme dans beaucoup de métiers de la finance, ce travail demande une grande rigueur et des capacités d’analyse poussées. Ce responsable possède des compétences en management pour diriger son équipe. 

Quant à son aisance relationnelle et ses capacités en communication, elles lui permettent d’expliquer et de traduire les données en proposition concrète.

Quelles sont les compétences à acquérir dans le contrôle interne ?

En plus de ces atouts innés, le contrôleur interne maîtrise la comptabilité sur le bout des doigts. Il a aussi des connaissances poussées en : 

  • Gestion ; 
  • Finance ; 
  • Audit.

Il maîtrise l’ensemble des systèmes d’information, de façon à pallier un risque potentiel. Pour finir, il manie avec brio les logiciels spécialisés dans ce secteur.

Vous comprenez donc pourquoi étudier la finance est plus qu’indispensable pour évoluer dans cette profession. 

L’ICS Bégué est un institut de formation en France, qui vous propose un cursus pour devenir contrôleur interne. Explorez les programmes que vous offre l’école de finance de Paris et l’école de finance de Lyon

Quelle est la formation pour devenir contrôleur interne ? 

Ce cursus pour devenir contrôleur interne dure 5 ans. Il commence par un bachelor et se termine par un MBA.

Le bachelor gestion finance et audit 

Ce bachelor est un programme accessible après le bac. Il vous prépare à maîtriser tous les fondamentaux pour travailler dans la finance, à savoir : 

  • Le contrôle de gestion ; 
  • L’analyse financière ; 
  • La gestion comptable ; 
  • Etc.

Les deux premières années, vous réalisez, en plus des cours, des stages en entreprise qui vous promettent une première plongée dans le secteur de la finance. En troisième année, vous approfondissez votre pratique, en alternance, au sein d’une entreprise.

Mais le bachelor gestion, audit et finance ne suffit pas à prendre la direction d’un service dans le contrôle interne. Vous devrez parfaire vos connaissances, en réalisant deux années d’études supplémentaires en MBA.

Le MBA banque et finance

Ce master de contrôleur de gestion vous délivre une formation de niveau élevé dans ce domaine. Il aborde, en effet, des sujets en profondeur tels que : 

  • La gestion des risques ; 
  • La finance d’entreprise ; 
  • Le contrôle des marchés financiers ; 
  • Etc.

Pour avoir plus d’impact, ce programme se déroule aussi en alternance. Au fil des jours, vous vous impliquez donc aux côtés de professionnels chevronnés. Vous gagnez en compétence. Ainsi, une fois diplômé, votre CV vous permet de vous démarquer et d’attirer l’œil des professionnels du recrutement.

Quelles évolutions après le contrôle interne ? 

Un contrôleur interne a de grandes possibilités d’évolution de carrière. Après quelques années passées dans le contrôle financier, il peut : 

  • Piloter une équipe et devenir directeur du contrôle interne ;
  • Occuper des fonctions dans l’audit et la gestion des risques. 

S’il souhaite évoluer vers d’autres responsabilités, il peut également postuler à des offres d’emploi de   : 

  • Responsable de conformité ; 
  • Directeur financier.

Bien plus qu’un simple gardien des procédures internes, un contrôleur interne a tous les pouvoirs pour assurer la sécurité financière d’une entreprise. Envie de vous investir dans cette branche ? Optez pour la formation de l’ICS Bégué et devenez l’un des acteurs futurs du monde financier.

Commissaire aux comptes

Qu’est-ce qu’un commissaire aux comptes ? Quelle est sa mission quotidienne ? Quelle formation suivre ? Découvrez dans cette page, une fiche métier qui répond à toutes vos interrogations. 

Quel est le rôle d’un commissaire aux comptes ? 

Le commissaire aux comptes (CAC) vérifie que les comptes d’une entité sont conformes à la législation financière en vigueur.

Il s’agit d’un métier de comptabilité réglementé. Ce professionnel est, en effet, inscrit au tableau de l’Ordre des commissaires aux comptes. Véritable auditeur légal, il exerce, en effet, pour le titre de l’État de façon indépendante. 

Il se doit de respecter, de façon stricte, le Code de déontologie, afin de garantir l’indépendance et l’intégrité de ses audits financiers. 

En général, il travaille avec d’autres CAC, dans un cabinet d’audit ou d’expertise comptable. Son salaire en début de carrière est d’environ 2 500 euros mensuels. 

À savoir 

La nomination d’un CAC s’effectue via un vote des actionnaires, lors de l’assemblé générale de l’entreprise. Son mandat a une durée de 6 ans.

Quelles sont ses missions ? 

Un commissaire aux comptes a en charge le contrôle du bilan d’une société. Cela couvre le compte de résultat et les annexes d’une société. 

Il vérifie ainsi la justesse de la comptabilité d’une entreprise en analysant l’ensemble des justificatifs.  

À la fin de l’audit, il rédige un rapport détaillé dont les conclusions sont ensuite présentées lors de l’assemblée générale de l’entreprise.  

S’il relève des irrégularités ou anomalies, son devoir est d’en informer les dirigeants, les actionnaires. Il en fait également part au procureur de la République, si cela est utile. 

Il a aussi un rôle de conseil pour garantir la transparence et la stabilité financière d’une entreprise.

Quelles sont les qualités d’un commissaire aux comptes ? 

Pour exercer sa profession, un CAC doit être attiré par l’analyse et les chiffres. S’il est méthodique et rigoureux, il doit également posséder : 

  • De bonnes capacités relationnelles ; 
  • Un esprit analytique ; 
  • Une capacité à mesurer rapidement les risques et à établir des seuils de contrôle.

Quelles sont les compétences à avoir pour devenir commissaire aux comptes ? 

Un commissaire aux comptes est avant tout un fin mathématicien et stratège des chiffres. Il doit également posséder d’autres capacités en : 

  • Maîtrise de logiciels de comptabilité ; 
  • Analyse financière ; 
  • Stratégie comptable ; 
  • Montage juridique ; 
  • Etc.

Pour exercer ce métier, vous avez besoin de connaître des notions poussées en banque, finance et gestion. En voici une liste non exhaustive des cours que vous pouvez suivre : 

  • Techniques d’audit ; 
  • Comptabilité générale et analytique ;
  • Normes comptables internationales ;
  • Réglementation fiscale nationale et internationale ;
  • Optimisation fiscale ;
  • Déclarations fiscales et obligations réglementaires ;
  • Finance d’entreprise ; 
  • Etc.

L’apprentissage du métier de commissaire aux comptes nécessite, vous l’avez compris, un certain nombre de compétences. Envie de vous former ? 

L’ICS Bégué, la grande école de comptabilité à Lyon et l’école de comptabilité à Paris vous propose des cursus pour accéder à ce métier. Découvrez les plus bas. 

Comment devenir commissaire aux comptes ? 

Il existe différentes poursuites d’études pour devenir commissaire aux comptes. Mais dans tous les cas, vous devez avoir une formation de niveau bac + 8 au total. 

Le DSCG

Vous avez un diplôme de niveau bac + 3 en comptabilité comme le DCG ? Vous pouvez vous inscrire au DSCG à l’ICS Bégué. Il s’agit du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion. En réalisant ensuite un stage de 3 ans auprès du CAC habilité, vous pouvez demander votre inscription à la liste des commissaires aux comptes. 

À savoir

Pour information, le DCG, lui, est accessible juste après le bac ou après un BTS comptabilité et gestion. Dans ce cas, vous entrez directement en seconde année, car vous êtes dispensé de passer certaines épreuves du DCG : 

  • Introduction à la comptabilité ; 
  • Comptabilité approfondie ; 
  • Introduction au droit ; 
  • Économie contemporaine.

Le DEC

L’autre option consiste à : 

  1. Passer le diplôme d’expertise comptable (DEC) après le DSCG ; 
  2. Réaliser un stage de 2 ans auprès d’un commissaire aux comptes expérimenté. 

Vous pouvez ensuite demander à être inscrit sur la liste des CAC.

À savoir : Le DEC est aussi obligatoire pour vous impliquer dans la création d’un cabinet d’expert-comptable.

Après un master sans la spécialité comptabilité

Enfin, si vous avez une certification hors comptabilité de type master, vous pouvez passer le certificat préparatoire aux fonctions de commissaire aux comptes (CPFCAC). Vous effectuez ensuite un stage de trois ans et vous validez alors le certificat d’aptitude aux fonctions de commissaire aux comptes (CAFCAC).

Quelles sont les perspectives d’évolution ? 

Devenir commissaire aux comptes vous permet d’explorer le monde de la comptabilité à un haut niveau. Avec un tel parcours, vous pourrez ensuite : 

  • Monter votre propre cabinet d’expert-comptable ;
  • Travailler dans un cabinet d’audit ; 
  • Devenir directeur financier ; 
  • Etc.

À la lecture de cette page, la profession de commissaire aux comptes vous intéresse ? Quel que soit votre niveau en comptabilité, faites confiance à l’ICS Bégué pour vous former. Envie d’en apprendre plus sur cette formation. Venez nous rendre visite le jour des portes ouvertes.

La digitalisation des métiers du chiffre et de l’audit

Décryptage de cette (r)évolution dans un secteur qui ne connait pas la crise.

Alors que les recrutements dans le secteur de la Finance se multiplient, le digital prend également de plus en plus de place dans le quotidien des métiers du chiffre et de l’audit. Digitaliser la profession du chiffre et accorder à ces métiers plus de temps pour manager, communiquer et accompagner, c’est la réflexion que Laurent Tedesco, ceo de l’entreprise Humbrain, a partagé auprès des étudiants de l’ICS Bégué lors d’une conférence sur la thématique « La digitalisation des métiers du chiffre et de l’audit ».

Les nouvelles missions des métiers de la Finance

Les métiers du chiffre font face à une réorganisation de leurs missions en en apportant de nouvelles. Les cabinets et entreprises recrutent à ces postes en sollicitant des compétences en management et d’adaptabilité à des modes de travail numérique.

La digitalisation, de nos jours, impacte fortement les métiers du chiffre et de l’audit : le cloud, les progiciels de gestion intégrés (PGI), les échanges de données informatisées (EDI), … autant de termes qui incarnent ce processus. On prendra l’exemple des factures qui devront être dématérialisées à partir de 2024. C’est la fin des factures papiers ! C’est le sujet qui a été abordé par Laurent Tedesco auprès des étudiants de l’ICS Bégué.

Selon des estimations sectorielles, l’automatisation des processus pourrait réduit le volume de travail de 43 % en moyenne pour les processus order-to-cash (facturation, encaissement, crédit, recouvrement et tarification), de 41 % pour la comptabilité et de 34 % pour les processus de procure-to-pay.

Cela va générer chez les professionnels du chiffre et de l’audit de nouvelles attentes, de nouvelles formes de travail et de nouvelles compétences à présenter :

  • De nouvelles attentes : vers de l’accompagnement des opérationnels et dirigeants dans la prise de décision, dans la mise en œuvre et le suivi, une vision globale de la performance et non plus limitée à la performance financière, une maîtrise des nouveaux enjeux RSE, … ;
  • de nouvelles formes de travail : nous pouvons constater le développer du travail numérique : le travail partagé avec les clouds, vers de l’analyse grâce aux systèmes experts et IA qui se chargeront du travail en amont, de nouveaux outils pour accompagner le professionnel dans son travail : tableur, automatisation, algorithme de décision, outils d’organisation, … ;
  • de nouvelles compétences attendus également : un développement de la capacité d’analyse, de conseil, des compétences commerciales pour vendre des missions et non plus de l’activité, une vision à 360° de l’entreprise et non plus spécialisé, des compétences soft-skills étendus (gestion d’équipe, capacité à communiquer, …).

Se former à ces nouvelles attentes professionnelles

Appréhender et se confronter à ces nouvelles compétences recherchées par la profession, c’est ce que l’ICS Bégué enseigne auprès de ses étudiants. Les futurs talents du secteur doivent être à l’écoute de ces évolutions organisationnelles pour être capables de les appréhender et d’accompagner les entreprises dans leur digitalisation.

Audit et transformation digitale, management des systèmes d’information, VBA, RSE, Soft-skills, … autant de thématiques traitées par les entreprises et que les étudiants doivent prendre en compte afin de se former à l’environnement de travail de demain pour en faire des acteurs compétents et pro-actifs.

Tout au long du parcours d’école de comptabilité, audit et finance, l’ICS Bégué confronte chaque étudiant à la réalité de l’entreprise, de façon théorique grâce aux cours spécialisés apportés dans leur cursus de formation, mais aussi de façon pratique en entreprise lors de l’immersion professionnelle intégrée à l’ICS Bégué. En stage ou en alternance, l’intégration en entreprise est une étape clé pour comprendre les attentes du secteur et se confronter aux évolutions du métier.

La digitalisation est un enjeu majeur pour les métiers du chiffre et de l’audit, une réalité actuelle pour les étudiants de l’ICS Bégué.

Responsable back office


Quel est le rôle du responsable back office, quelles sont ses missions ?

Le responsable back office est en charge de l’administration des ordres du Front Office. Le responsable back office a un rôle de vérification des opérations, d’envoi de confirmations, de suivi des échéances, de facturation et de comptabilisation.

Rôle du responsable back office :

  • Préparation et contrôle de la paie
  • Gestion des absences, congés
  • Mise à jour, et paramétrage des logiciels de gestion de la paie
  • Gestion des contrats particuliers
  • Veille sur l’évolution de la législation sociale
  • Établissement de la DADS
  • Optimisation du calcul des charges sociales



Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir responsable back office ?

  • Maîtrise de l’anglais
  • Rigueur
  • Aisance avec l’outil informatique
  • Organisation
  • Maîtrise des outils informatiques
  • Bonnes bases comptables



Comment devenir responsable back office ?

Le métier de responsable back office peut s’exercer au niveau Bac +5 après le DSCG de l’ICS Bégué, ou le MBA Banque, Finance et Gestion de Patrimoine.

Trésorier


Quel est le rôle du trésorier, quelles sont ses missions ?

Le trésorier exerce une fonction proche d’un métier bancaire en entreprise. Il est en charge de la bonne gestion des liquidités de l’entreprise. Il va ainsi s’assurer de sa rentabilité financière par le contrôle actif des entrées et sorties des flux financiers. Il établit également les prévisions et le reporting.

Rôle du trésorier :

  • S’assurer de la permanence des ressources disponibles
  • Valorise les flux financiers à court terme (trésorerie), à moyen et à long terme (plans de financement), au moindre risque pour l’entreprise
  • Recherche de partenaires et de modes de financement pour l’exploitation et les investissements
  • Analyse toute forme de risques positifs ou négatifs, en évalue les conséquences, et met en œuvre les couvertures de risques appropriées
  • Optimise la rentabilité des fonds



Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir trésorier ?

  • Rigueur et créativité
  • Organisation et maintien d’un réseau d’informations
  • Aisance relationnelle
  • Maîtrise du fonctionnement des opérations bancaires
  • Maîtrise des outils informatiques
  • Solides bases comptables



Comment devenir trésorier ?

Le métier de trésorier peut s’exercer au niveau Bac +3 après le Bachelor Business & Finance de l’ICS Bégué ou le DCG.

Consultant financier

En tant que consultant financier, votre expertise devient une boussole pour guider les clients vers la prospérité. Vous évaluez leurs besoins, élaborez des plans financiers personnalisés et les guidez dans des décisions judicieuses. Votre rôle est d’apporter clarté et confiance dans le paysage financier complexe, créant des parcours vers le succès financier.

Découvrez la fiche métier réalisée par l’ICS Begue sur le consultant financier !


Qu’est ce que le métier de consultant financier ? 

Le consultant financier est un professionnel spécialisé dans la fourniture de conseils financiers personnalisés pour aider les particuliers ou les entreprises à atteindre leurs objectifs financiers. 

Expert en gestion de patrimoine, fiscalité et investissements, le consultant financier analyse la situation financière de ses clients et propose des stratégies adaptées à leurs besoins. Grâce à sa connaissance approfondie des marchés financiers et des instruments d’investissement, il guide ses clients dans la prise de décisions éclairées. Le consultant financier joue un rôle clé dans l’optimisation des finances, la gestion des risques et la création de plans financiers durables.



Quelles sont les missions du consultant financier ?

Le consultant financier joue un rôle essentiel dans le domaine de la finance, apportant son expertise à diverses entreprises. Voici un aperçu de ses missions variées.

  • Analyser la situation financière : le consultant financier réalise une analyse approfondie de la situation financière des entreprises clientes, identifiant les points forts et faibles.
  • Fournir des conseils en gestion : il conseille la direction sur les meilleures pratiques de gestion financière, proposant des stratégies pour optimiser la rentabilité et minimiser les risques.
  • Optimiser la structure financière : le consultant travaille sur l’optimisation de la structure financière de l’entreprise, recherchant des solutions pour améliorer l’allocation des ressources.
  • Élaborer des plans de financement : il élabore des plans de financement adaptés aux besoins spécifiques de chaque client, contribuant ainsi à la réalisation de leurs projets.
  • Assurer la conformité juridique : le consultant financier veille à la conformité des opérations financières avec la réglementation en vigueur, minimisant les risques juridiques.
  • Participer à la création d’entreprises : il accompagne les entrepreneurs dans la création de leur entreprise, élaborant des plans financiers solides pour assurer le succès initial.
  • Conduire des missions de recrutement : certains consultants financiers participent au recrutement de professionnels de la finance au sein des entreprises clientes.
  • Optimiser la rémunération : il propose des solutions pour optimiser la rémunération des salariés, alignant les politiques salariales avec les objectifs financiers de l’entreprise.
  • Former les équipes : le consultant financier assure des sessions de formation pour les équipes internes, partageant son expertise et favorisant le développement des compétences financières.
  • Mettre en place des outils de gestion : il participe à la mise en place d’outils de gestion financière, intégrant des solutions technologiques pour améliorer l’efficacité opérationnelle.

Pour résumer, le consultant financier intervient en tant qu’acteur clé dans le domaine de la finance, offrant des conseils stratégiques et des solutions pratiques pour soutenir la croissance et la stabilité financière des entreprises.



Quelle formation pour devenir consultant financier ?

L’obtention du baccalauréat suivie de cinq années d’études est requise pour exercer en tant que consultant financier. 

Si vous cherchez une formation à suivre, en vue d’obtenir, par exemple, le DSCG, le MBA banque et finance et le Bachelor gestion finance proposés par l’ICS Begue sont des options à considérer. 

  • École de gestion Lyon 

Quel est le salaire d’un consultant financier ?

 

Le salaire moyen annuel d’un consultant financier en France se situe généralement entre 40 000 et 70 000 euros, ce qui équivaut à une moyenne mensuelle de 3 300 à 5 800 euros. 

Ces chiffres peuvent varier en fonction de l’expérience, de la spécialisation et de la localisation géographique.

Quelles qualités pour devenir consultant financier ?

Pour devenir consultant financier, plusieurs qualités s’avèrent cruciales. 

  • Connaissances bancaires et financières 
  • Stratégie 
  • Relationnel

De prime abord, une solide expertise en finance et une compréhension approfondie des marchés sont indispensables. La capacité d’analyse, notamment dans l’évaluation des risques et des opportunités, est également primordiale. 

Un consultant financier doit être doté d’excellentes compétences en communication pour expliquer des concepts financiers complexes de manière claire et concise à ses clients. La flexibilité et l’adaptabilité sont des atouts face à un environnement financier en constante évolution. 

Pour terminer, une éthique irréprochable et la capacité à établir des relations de confiance sont indispensables pour renforcer la crédibilité du consultant financier.

Consultant financier : Quelles perspectives d’évolution ? 

Le métier de consultant financier offre des perspectives d’évolution significatives en France. Avec l’accumulation d’une riche expérience, vous pourrez évoluer vers des postes de direction ou devenir consultant indépendant. 

Diversifiez vos compétences en explorant des domaines spécifiques tels que la gestion d’actifs, la fiscalité et la finance d’entreprise. Restez informé des évolutions réglementaires et des tendances économiques pour anticiper les besoins du marché. 

En investissant dans votre formation continue et en élargissant votre réseau professionnel, vous serez prêt à saisir les opportunités d’évolution qui se présenteront.

Risk Manager


Quel est le rôle du Risk Manager ? Quelles sont ses missions ? 

Le Risk Manager a pour rôle d’identifier, d’analyser et d’évaluer les zones et facteurs de risques (opérationnels, commerciaux, industriels, financiers, fiscaux, réputationnels, cyber-attaques…) auxquels l’entreprise est exposée.

Il vérifie que les couvertures opérationnelles, juridiques, assurantielles et financières sont en place. Il s’assure aussi de l’efficacité des procédures internes de contrôle.  

Il est également amené à négocier avec les courtiers et compagnies d’assurance afin de mettre en place les couvertures et garanties adaptées, en fonction du risque et des montants engagés, tout en veillant au coût des primes. 


Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir Risk Manager ? 

  • Connaissance des outils de modélisation des risques financiers 
  • Maîtrise des audit des processus internes et des systèmes d’information 
  • Droit des assurances 
  • Connaissances financières, juridiques et fiscales 
  • Audit interne
  • Bonne aisance relationnelle 
  • Anglais 


Comment devenir Risk Manager ? 

Le métier de Risk Manager peut s’exercer au niveau Bac +5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Risk & Compliance de l’ICS Bégué ou après le DSCG

Responsable conformité / Compliance Officer


Quel est le rôle du Compliance Officer ? Quelles sont ses missions ? 

Il assure la bonne mise en œuvre des réglementations et procédures en vigueur au sein de l’entreprise, vérifie leur conformité dans le cadre des processus en place, notamment ceux impliquant les relations de l’entreprise avec ses clients (« Know Your Customer »), assure leur contrôle permanent et mise en application. Il vérifie aussi le respect des exigences liées à la déontologie, qui regroupe les codes et pratiques propres au métier de l’entreprise.  

Les missions dépendent de sa structure, de son activité et secteur (par exemple pour les Banques, vérification de l’origine des fonds) et nécessitent des vérifications régulières pour s’assurer de la mise en œuvre adaptée des normes et des règles, fonction de leur évolution dans le temps.


Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir responsable conformité / Compliance Officer ? 

  • Solides connaissances en droit, contrôle interne, réglementations bancaires internationales et réglementations européennes 
  • Solides compétences en finance, comptabilité et analyse des risques 
  • Maîtrise de l’anglais 
  • Maîtrise des outils de gestion de données 


Comment devenir Compliance Officer ? 

Le métier de Compliance Officer peut s’exercer au niveau Bac +5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Risk & Compliance de l’ICS Bégué.